"Chère Pipi" : présentation des tirages de la photographe Karen Paulina Biswell : conférence enregistrée au Salon de lecture Jacques Kerchache le mercredi 22 janvier 2020
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- Auteurs : Biswell Karen Paulina (1983-....) ;
- Sujets : Femmes photographes -- Colombie, Femmes photographes, Indiens d'Amérique, Congrès et conférences, Biswell, Karen Paulina
- Langue(s) : Français
- Description matérielle : 1 CD data (1 h)
- Pays de publication : France
- Collection (notice d'ensemble) : Manifestations du Salon de lecture Jacques Kerchache, Autour des collections.
Notes
Lien vers l'événement disponible à l'adresse ; Http://www.quaibranly.fr/fr/expositions-evenements/au-musee/rendez-vous-du-salon-de-lecture-jacques-kerchache/details-de-levenement/e/chere-pipi-38689/ ; Manifestations du Salon de lecture Jacques Kerchache. Autour des collections (mercredi 22 janvier 2020, Salon de lecture Jacques Kerchache)
Résumé
Le site internet du Musée du quai Branly-Jacques Chirac indique : 'Présentation des tirages de la série 'Chère Pipi', produite par la photographe colombienne Karen Paulina Biswell dans le cadre de l'édition 2018 du programme des Résidences photographiques. Karen PAULINA BISWELL. En 2017, Karen Paulina Biswell entreprend une résidence dans la commune amérindienne d’Awala-Yalimapo en Guyane, grâce à un financement de l’Institut Français de Guyane Française. Issu de cette résidence, le projet 'Chère Pipi' est une invitation à une méditation personnelle, une quête philosophique sur le sujet de la féminité et la puissance de sa communion avec le monde végétal et un hommage aux Pipi ou grand-mères des communautés kalin'a ayant accueilli l'artiste lors de sa résidence.- ; Réalisée dans le cadre des Résidences photographiques du musée du quai Branly-Jacques Chirac, la série 'Chère Pipi' est présentée publiquement par son auteur au salon de lecture Jacques Kerchache avant son entrée dans les collections du musée. Karen Paulina Biswell est née en Colombie en 1983. Elle émigre en France avec ses parents dans les années 1990, fuyant l’extrême violence politique de son pays. Son travail, en constante redéfinition, traite de la vulnérabilité morale et de la destinée humaine. Saisissant les aspects inexplorés du quotidien, éléments marginaux et provocants de la société, le travail de Karen Paulina Biswell s’intéresse aux états extrêmes de la pensée et de l’expérience humaine.- ; Ses photographies ont été exposées dans le cadre de plusieurs expositions : Fondation Vasarely, Aix-en-Provence (2018), Galerie Valenzuela Klenner de Bogota (2018), Rencontres photographiques de Guyane (2017), Cité International des Arts, Paris (2017), Les Rencontres de la photographie, Arles (2017 et 2016), entre autres. Son travail est entre autre nominé pour le World Press -The 6×6 Global Talent Program (2017), le Higashikawa Award (2016) et Prix de la Photo Madame Figaro Arles (2016).'