Picturing death, 1200-1600
Bibliographie
- Auteurs : Perkinson Stephen ; Turel Noa (19..-....) ;
- ISBN : 978-90-04-43002-0, 90-04-43002-4
- Sujets : Mort -- Dans l'art -- Histoire, Danse macabre, Monuments funéraires, Art
- Langue(s) : Anglais
- Description matérielle : 1 volume (XX-454 pages), : Illustrations en couleurs, couverture illustrée en couleurs, 24 cm
- Pays de publication : Pays-Bas, États-Unis
- Collection (notice d'ensemble) : Brill's studies on art, art history, and intellectual history, Volume 50,
Notes
Bibliographie pages [399]-444. Notes bibliographiques en bas de page. Index
Résumé
Picturing Death : 1200–1600 explores the visual culture of mortality over the course of four centuries that witnessed a remarkable flourishing of imagery focused on the themes of death, dying, and the afterlife. In doing so, this volume sheds light on issues that unite two periods—the Middle Ages and the Renaissance—that are often understood as diametrically opposed. The studies collected here cover a broad visual terrain, from tomb sculpture to painted altarpieces, from manuscripts to printed books, and from minute carved objects to large-scale architecture. Taken together, they present a picture of the ways that images have helped humans understand their own mortality, and have incorporated the deceased into the communities of the living. ; 'Picturing Death : 1200-1600 étudie la culture visuelle de la Mort au cours de quatre siècles qui ont connu une multiplication remarquable de l'imagerie centrée sur les thèmes de la mort, du décès et de l'au-delà. Ce faisant, ce volume met en lumière des questions qui unissent deux périodes - le Moyen Âge et la Renaissance - souvent considérées comme diamétralement opposées. Les études rassemblées ici couvrent un vaste terrain visuel, de la sculpture funéraire aux retables peints, des manuscrits aux livres imprimés, et des objets sculptés minuscules à l'architecture à grande échelle. Prises dans leur ensemble, elles donnent une idée de la manière dont les images ont aidé les humains à comprendre leur propre mortalité et ont intégré les défunts dans les communautés de vivants.'